La question sur les banques virtuelles revient souvent!
Bien que la différence des générations soit de plus en plus atténuée à ce niveau, en raison à l’exposition quotidienne à la technologie, le sujet en intéresse plus d’un. La majorité des gens qui s’en inquiètent sont ceux qui ne sont pas familiers avec tablettes électroniques, ou encore les cellulaires intelligents.
Au même titre que les institutions traditionnelles, ces banques ont faite leurs preuves. Puisqu’elles se concentrent sur l’hypothèque et n’ont pas de succursales à chaque coin de rue, cela leur permet de se concentrer sur les quelques produits offerts avec des conditions de façon générale plus alléchantes. Au même titre qu’un paiement de voiture, les paiements sont prélevés de façon systématique et chaque prêt est régulé de la même façon que les institutions traditionnelles.
De plus, ces institutions virtuelles sont soumises aux mêmes réglementations que toutes autre conventionnelle. Ils sont donc surveillés par le gouvernement et ont une responsabilité envers les consommateurs.
Les conditions sur les prêts sont toutes aussi importantes que le taux lui-même, sinon plus.
Différentes d’institution en institution, mais aussi de produit hypothécaire à même l’institution financière. L’exemple le plus courant est sans doute la fameuse pénalité: chez un prêteur virtuel, elle sera de façon générale, et de beaucoup, inférieure à celui de l’institution avec pignon sur rue. De plus, elles possèdent des critères d’admissibilité un brin plus souples puisqu’elles créent une plus grande diversité du marché.
Depuis quelques années, on entend les noms d’institutions et expériences clients qui circulent de plus en plus. Ces commentaires sont plutôt positifs. Ils témoignent d’une chose: les paiements se font de la même façon et avec la même efficacité qu’en succursale. Qui, de toute manière, à un réel besoin de modifier son hypothèque en cours de terme? Oui, il y en a quelques-uns, mais tout cela peut soit se faire via internet, ou encore par téléphone.